discoGRAPHIE
Prochain disque en 2025
Swingin' Partita sous la direction de Guillaume Cuiller.
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Choc de Classica
ffff Télérama
Enregistré en direct à la Chapelle Royale de Versailles en juin 2015, ce disque est consacré au compositeur lorrain Henry Madin (1698-1748) qui finit sa carrière comme Maître de Chapelle à la Cour de Louis XV.
Ce Te Deum n’a pas été joué depuis plus de 250 ans lorsque Daniel Cuiller l’a recréé dans le lieu même où il avait été donné pour la dernière fois en 1757 devant le Roi.
ffff Télérama
« Daniel Cuiller ne pouvait mieux célébrer les vingt ans de son ensemble Stradivaria qu’en ressuscitant ce Pirame et Thisbé, à la tête d’une distribution juvénile inspirée d’où se détache le Ninus virtuose du ténor américain Jeffrey Thompson. » – Gilles Macassar – Télérama n°3047 – 04/06/08
★★★★ par le Monde de la Musique
Ce projet original présente trois illustrations différentes du fameux poème en latin « Stabat Mater » écrites entre 1750 et 1770. Découvertes et éditées par Stradivaria, ces trois partitions illustrent, une nouvelle fois, la volonté de recherche lancée par l’Ensemble depuis sa création.
★★★★ par le Monde de la Musique
Trois violons dans les cours d’Europe au 17ème siècle.
« Stradivaria défend ces pièces avec un enthousiasme communicatif […] un très beau disque, né d’une excellente idée, et qui reflète une facette peu connue des expérimentations formelles qui caractérisent la musique instrumentale du XVIIème siècle » – Répertoire, Pierre Pascal
5 Diapasons
Clic de Classic News
Deux œuvres antagonistes bien que proches, pour la « Querelle des Te Deum », frivole écho des dernières victoires de Louis XV.C’est aussi la redécouverte de deux compositeurs des plus talentueux, contemporains de Rameau, François Colin de Blamont et Esprit Joseph Antoine Blanchard.
L’apparente simplicité de l’écriture, la douceur du chant, une délicatesse qui pousse à l’indolence, font des Concerts Royaux une œuvre intime, touchante. L’interprétation proposée par Daniel Cuiller et Stradivaria rend compte du contexte de la création de ces concerts : jouer la lassitude et la complaisance devant un Couperin vieillissant, lui-même officiant au divertissement du Roi arrivé au crépuscule de sa vie.
Aujourd’hui édités et connus des “baroqueux”, les concertos de Leclair ont été redécouverts sur instruments anciens dans les années 80, grâce au travail des musiciens de Stradivaria sous la direction de Daniel CUILLER. Magnifique expérience des cordes, laboratoire de diction “à la française” sous influence italienne !
Ces belles pièces pour orchestre furent écrites en 1723, lors du séjour de Zelenka à Prague pour les fêtes du couronnement de Charles VI Habsburg comme Vice Roi de Bohème. La direction vive et chaleureuse de Pierre Cao magnifie lasubtilité et la richesse de cette musique qui ne renie pas ses origines bohémiennes.